le projet
Légende Urbaine est un projet visant à déconstruire les idées reçues (en lien avec l’urbain) via des temps de dialogue en physique dans l’espace public et en ligne (débat, exposition, podcast, etc.) entre les parties prenantes de la Ville (habitants, acteurs privés, publics, associatifs, académiques etc.).
Le projet Légende Urbaine a vocation a être co-porté par plusieurs acteurs représentatifs de toutes les parties prenantes de la ville à savoir : un représentant du secteur privé, public, académique et de la société civile. L’ambition finale est que Légende Urbaine devienne un commun, un format que des structures ou collectifs peuvent s’approprier selon une charte co-construite et commune, sur le même principe que les « Disco Soupe » ou « Repair café« .
Dans le cadre du projet Tiers Lieu Augmenté des Mondes Urbains, TUBÀ a pu étudier ses propres méthodologies, les impacts et limites de ses projets, son réseau d’acteurs etc. mais également ceux de deux autres structures : Erasme et le LabEx IMU.
Cela a permis d’identifier un grand nombre de « chantiers » (méthodes à améliorer, poursuivre, enrichir) et de leviers à l’amélioration de l’impact des activités de médiation et d’innovation.
Le format ici travaillé a été imaginé sur la base de la volonté de diversifier les publics et territoires cibles des activités.
Légende Urbaine est un projet visant à concilier plusieurs des éléments étudiés à savoir :
- l’enjeu de diversification des publics étant la cible des actions de médiation,
- la diversification des territoires cibles des projets,
- la mise en place d’actions en faveur d’une augmentation du pouvoir d’agir du grand public,
- l’enjeu de l’évaluation de l’impact de ces actions en termes de changement de comportement
- ainsi que la nécessité de renouvellement des modalités de participation citoyenne.
L’hypothèse sous-jacente est celle d’une co-construction plus large et plus efficiente si les acteurs concernés disposent de « la bonne information » qui permettra le passage à l’action.
timeline






enjeux liés au dispositif
Afin d’y répondre, une approche basée sur la psychologie sociale a été utilisée dans le but d’identifier l’ensemble des freins potentiels à la participation selon le statut des potentiel·les participant·es et d’identifier les leviers y répondant.
Le dispositif sera mobile sur le territoire (un nouvel évènement = un lieu nouveau), idéalement situé dans l’espace considéré comme public (parc, rue, parvis de mairie, cours d’école, bibliothèque etc.) à la fois en physique et en virtuel.
Aussi, l’intervention systématique d’acteur·ices représentatif·ves de l’ensemble des parties prenantes de la ville est indispensable : académique (savoir scientifique), économique (savoir pratique échelle « macro »), public (savoir institutionnel/cadre légal) et du grand public (savoir pratique échelle « micro »)
Le dispositif est reconnu et reconnaissable ; le dialogue est instauré et constructif ; l’espace est dédié et neutre.
Pour cela, plusieurs formats de capitalisation seront testés. Du podcast à la vidéo, en passant par les articles et manifestes, l’ensemble des résultats devront être recensés et régulièrement alimentés sur un site internet dédié et libre de droit. Les supports de diffusion feront également l’objet d’expérimentations (utiliser l’espace public par exemple).
Le format

Créer collectivement l’information

Créer collectivement le savoir
ça va c’est rien qu’un clic

Une exposition dédiée à la thématique du numérique responsable
L’exposition a été accueillie durant l’été 2021 dans le hall de la mairie du 7ème arrondissement puis dans le parc Champvert du 5ème arrondissement en septembre 2021. Elle revient pour être testée dans le LAB du TUBÀ à partir de mars 2022.
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